Envie de café my dear? [Erica]

Notre jeune ami avait terminé son boulot à une une heure indescente, cette fois l'heure affichait la 2ieme heure et la longue aiguille était dirigée sur le chiffre 7....3h35 du matin...cela laissait supposer quelques soupcons d'infidélité, enfin surtout lorsqu'on est un monsieur. Cela ne date pas d'hier d'Ailleurs, sa femme chérie lui reprochant de voir des magazines à intérêt masculin, mais avec une eptit bonne femme comme elle, pourquoi aller voir ailleurs? Elle est sublime quoi... enfin là n'est pas la question au problème du jeune homme, il faudra qu'il trouve une excuse acceptable pour la ladie sous peine ne plus pouvoir dormir...enfin cela n'est pas nouveau, chaques soirs il tremble telleemtn il est névrosé, les yeux s'écartillants jusqu'à laisser entrevoir les cappilaires de ses yeux...Un drogué quoi, des doses de somnifères en espérant que ça aille mieux. Ce n'est pas nouveau non plus de voir Dylan se lever au beau mileiu de la nuit faire une marche à l'extérieur, encore une fois aucunement à l'abri des préjugés de la part de sa femme, le jeune individu ne désir qu'aller se faire rafraichir les idées, par malchance tout ce qu'il fait est de faire une petite course en se croyant suivi, finallement il entre à nouveau où il croise pour la plupart du temps cette petite bouille blonde assise sur le lit avec les bras croisés. Désespérant...pourquoi ne peut-il pas avoir une vie libre? Lui qui désire simplement passer inaperçut le voilà toujours rammener à bloc à chaques soirs. Il ne faut aps pour autant perdre patience, l'acte de mariage stipule pour le meilleur et pour le pire...ces temps-ci il se demande la raison de sa demande de mariage, un peu insouciant peut-être? Un tantinet naif et en plus innocent de croire que cette blonde était al femme de sa vie. La nausée lui prend à chaque fois que ses parents lui parle d'Avoir un petit fils ou une petite fille...comme si ils avait des tronches à être parents idéaux? C'était horrible de penser à cela, surtout avec Erica comme mère, elle voudra que l'enfant prenne des cours de piano à 2 ans et qu'il se mettre à lire à 4 ans... Non pas question, elle demande alors un chien, un sac à puce courrant dans la maison, le grand malheur se produira le jour où il écrasera le chien par accident. Non non non, mieux vaut éviter toute chose à s'occuper, déjà son propre couple est une chose difficile à s'occuper, il ne faut pas pousser le bouchon à bout.

Ce soit, la situation était certes différente, à peine venait-il d'ouvrir la porte, qu'il entrevit la silhouette de sa copine, installée sur la table de la cuisine, les bras croisés, encore une fois pour ne pas changer. Il referma aussitôt la porte faisant mine que la serrure était coincée, ca donnera un bon prétexte... Enfin il fallait bel et bien qu'il franchise cette porte sous peine de passer la nuit dehors, ce n'est pas que cela le dérange, non pas le moindre du monde mais vallait mieux qu'il affronte le courroux de cette dame sous peine de l'endurer pour le mois qui suit. Au pas de souris il se glissa à l'intérieur où il retira son veston et il dénoua sa cravate en détournant le regard, il posa son sac où était son mac, il retira ses chaussures et alla vaquer jusqu'au canapé puis en se retournant il croisa son regard avec celui d'Erica...

-Ah Chérie, je ne te croyais pas levée à cette heure? Bonne journée? Un peu de café peut-être?

Le tout pour détourner sa conversation, un brin de subtilité le sauvera peut-être du sermont, non quoi qu'il en sois, avec une femme hystérique, il ne peut que s'attendre au pire. Le pauvre malheureux, baissa déjà la tête pointant son regard sombre vers le sol, il se passa la main dans les cheveux en se préparant mentallement aux sornettes que lui sortira sa copine.

-Tu sais ma chérie on peut aller discuter dans la chambre hein...tout les deux tranquillement avec.... tu vois?

Bah quoi? C'est un homme d'abord et puis cela lui fera peut-être oublier ce qu'elle était pour dire non? Brillant le petit quand il veut....non c'est que en fait faire l'amour sera peut-être plus réjouissant qu'un discour à la starlette des romans savons. Enfin il pouvait toujours essayer, le pire qui pourrait se produire serait d entendre ses hurlements incessants suivi d'une bonne giffle...une marque rouge sur le visage, rien de plus.

Ce soir là, Erica avait pris son courage a deux mains. C’était décidé : Elle lui parlerai le soir même du fait qu’elle était enceinte, du fait qu’elle voulait avorter. Elle avait décider de faire des efforts. Une fois qu’elle avait fait son service au Starbuck’s Coffee, puis après les cours à l’université, elle avait préparé un petit dîner. Vers 21 heures, elle avait fini. Elle regarda la porte, rien, aucune trace, bon, elle allait l’attendre. Elle sortit son ordinateur portable et commença a travailler, un peu d’histoire de l’art ne fait jamais de mal. Okay, c’est surtout s’avancer qui ne fait jamais de mal. Elle regarda ses mails, sa meilleure amie lui avait envoyer des blagues sur les hommes. Ca la fit rire, mais en même temps ça la fit penser à Dylan. Elle posa la main sur son ventre et la retira instantanément. Non ! Elle allait avorter ! Elle n’était pas prête, elle ne pourrait pas a la fois s’occuper de son couple, de ses cours, de son travail, et d’un enfant. Déjà, elle avait du mal a tenir le cap sans baby alors avec… En fait, s’était surtout avec son couple qu’elle avait des problèmes… Ses amies l’aidaient dans sa scolarité lorssqu’elle devait manquer des cours pour ramener un peu plus d’argent en travaillant au café plus longtemps. Vers minuit, elle mangea, en n’en ayant vraiment trop marre d’attendre. Et s’il la trompait ? Ca ne se voyait pas vraiment mais la jeune femme aimait encore son mari, malgré le fait qu’elle avait plusieurs fois voulut divorcer. Chose encore plus étonnante, Erica était très peut sûre d’elle, surtout depuis quelques mois.

Après avoir dîné, la jeune femme allant se doucher, elle s’habilla en tenue de nuit, se coiffa. Elle regarda vers l’horloge : 3h35 du matin ! Il se moquait d’elle ou quoi ? A tout les coups, il dirait que c’est le boulot : Peut-être est-ce le cas ? Peut-être pas ! En tout cas, elle n’avait plus envie de ne rien lui dire, elle n’avait même pas envie de se mettre en colère. Elle tournait, retournait, elle était revenu dans la cuisine. Son mari allait la rendre complètement folle ! Elle se dit qu’elle allait partir se coucher lorsqu’elle entendit la serrure de la porte, elle se rassit sur la table. Elle était en nuisette, jambes croisées, pieds nus, elle les bougeaient d’avant en arrière. Ce qui pouvait être perçut comme un signe d’énervement, d’impatience. Elle avait les bras croisées, le regard assez sombre. Bien sûr chéri, la porte coinçait ! Sûrement le fait qu’elle l’ait ouverte depuis près de 5 heures dès qu’elle entendait un bruit dehors. N’importe quoi ! Il abusait, franchement. La jeune femme regarda Dylan vaquer a ses activités comment dire … cruciales … Oui, il est plus important de dénouer sa cravate que d’embrasser son épouse. Et il partit se vautrer son le canapé. Enfin il se retourna et son regarda croisa celle qui l’attendait depuis tant de temps. Elle parla d'un ton assez las :

« Je suis réveillée car je t’attendais … Elle aurait été meilleure si tu était rentré a l’heure Dylan. »

Elle s’était rapproché de lui, cependant, ses bras étaient toujours croisés. Elle le regarda. Il était vraiment beau, malgré sa fatigue apparente, ce soir, elle n’avait pas envie de s’énerver, alors, elle lui dédia un petit sourire en coin en disant un faible « pourquoi pas. » Cependant, elle se dit que la subtilité du coup « mouais, changeons de sujet » était assez pathétique. Il avait continué de parler, elle lui lança un regard assez sombre, il croyait sans sortir en lui faisant l’amour… Pff, quoique ça valait mieux que des disputes ou elle criait, et qui était répétitive et assez lassantes . Il.
Elle était vraiment fatiguée, elle lui répondit, finissant sa phrase d’un ton insistant :

« Okay, allons parler Dylan… Parler hein ! »

Il fallait l'avouer, notre jeune ami n'était pas très doué au théatre et encore moins aux mensonges. Dylan faisait pourtant tout son possible pour éviter Erica, en fait plus il l'évitait mieux il se portait. AU chat et à la souris? Un peu, légèrement quand même, quoi que à bien y penser les deux jeunes gens adorent cibler l'Autre de défaults. On ignore si on peut appeller cela comme étant un couple ou bien s'il s'Agit de l'Amour. Un peu complexe comme histoire, mieux vaut ne pas trop s'Attarder sur la chose de toute manière il s'Agirait d'une dépression à coup sur, enfin ces deux-là étaient soit disant inséparables mais du côté négatif. Le divorce serait peut-être bien plus approprié dans un tel cas mais à quoi bon? Partager son argent? Surtout qu'il venait de recevoir une promotion en ce soir même, le pourquoi il était arrivé si tard. En tant normal tout être se gonflerait le torse et le crirait sur tout les toits mais pour notre jeune homme ici présent, cela ne faisait que plus d'Argent à encaisser rien de plus. Enfin ce soir s'Annonçait à petre une grande soirée, sa copine les yeux ouverts, les bras croisés à le fixer dans ses moindres mouvements, il devait y avoir queqlue chose qui clochait et pourtant il avait fait tout ce qui pouvait y avoir de naturel, dénouer sa cravate c'est bien plus urgent, lui qui étouffait sous cet attirail ridicule.

Jalouse peut-être voir même anxieuse de le voir aussi calme et si naturel, il n'Avait pas une seule fois détourner la tête depuis qu'il était entré, de quoi faire bouillir la demoiselle sur place. Elle qui était si scotchée sur les films américains où les maris faisaient la vaisselle, le ménage et la bise en entrant de travailler. Tous pathétiques de voir se jouer la vie parfaite alors que la perfection était subjective à chaques individus, se croire parfait n,est ce pas là de la double ignorance invoquée par notre cher ami Socrate, un génie dans l'âme. Croire savoir n'est ce pas pire que de simplement ignorer? Dylan était de ces types qui demeurait avec les deux pieds sur terre, même s'il aurait gagné le million le simplement changement qu'il pourrait y avoir dans sa vie serait de laisser échapper un petit rire forcé lors du gain et un sourire aux caméras...vous voyez? Rien de tout à fait superficiel...on pourrait même dire qu'il devient quelque peu passif comme individu, aucun rêve, aucun objectif sauf peut-être bien de vivre le jour à jour dans le petit train train habituel....ce n'est pas là de l'exagération rien de là, on pourrait même insinuer qu'il se la joue modeste et que tout les autres individus sur la planète devrait en faire de même notament sa femme. C'est elle qui prévoyait l'université pour avoir un salaire de 100000$ Lui dès à présent venait de dépasser cette somme, on pouvait rajouter un petit 25000$ de plus à cette somme mais devait-il l'Annoncer à sa femme pour autant? Il réfléchissait longuement en laissant les traits de son visage songeurs, les yeux mi-clos et les mains sur son front, il regardait à l'occassion le regard de la demoiselle.

Or bien on pouvait voir que la petite blonde était impatience de voir sa raison qui d'habitude sera pittoyable à ses yeux, le quotidien quoi, le travail. On aurait presque cru qu'elle désirait l'entendre lui dire: '' Bah je suis partit baiser ma douce, je ferais plus vite la prochaine fois ! '' Non mais comme si déjà un gars allait dire cela? Non, ensuite de cela, le Davis pouvait avoir bien des défaults mais tromper la dite madame Davis alors ça...c'était jouer de son honneur. Non il demeure un être humain tout de même, il a certes de grands défaults mais sa fidélité demeure au rendez vous du moins jusqu'à présent, le futur est innacessible hélas pour voir les idioties futures mais enfin le présent était dornavant plus important que le reste. C'est ainsi un peu inactif que les soupirs suivirent en donnant un accent sur le silence qu'emplissait la salle occupée par ces deux êtres. Finallement il décida d'entreouvrir la bouche et de glisser quelques mots.

-L'heure...qu'importe l'heure Erica, j'ai des devoirs à remplir en tant que citoyene t en tant qu'employé, tu vas me sortir que je le dois en tant que mari certes, bien sur, j'ai des devoirs en tant qu'époux, les factures peuvent en témoigner.

Il avait proposé du café, sans broncher il se leva et disparut dans la cuisine où il pouvait appercevoir du coin de l'oeil sa femme toujours assise, il en manquerait de peu pour qu'elle se mete à nouveau à rouspéter toutes ces petites répliques prévues à l'avance comme dans les téléromans. Une fixation soudaine pour le monde extérieur, son nez collé contre la vitre à regarder l'eau ruiseller sur la parrois. L'obscurité de la rue était phénoménale, il n'y avait qu'un simple appui de lumière orangée pour éclairer les pauvre automobilistes qui circulaient en si peu nombre à une heure pareille. Quant à lui, il y avait sa voiture dans le garage intérieur tout en bas, il pressa sa main contre sa poche de jean pour s'assurer qu'il n'avait pas laissé ses clefs quelque part. Vide. Rien. Ça y est il avait toujours l'esprit occupé, pas la peine de se concentrer pour des choses vitales. Dylan leva la tête soudainement, laissa le filtre dans la cafetière et y inséra en mode rapido les cuillères de café. Le jeune homme se dirigea vers sa mallette et s'assura de vérifier chaques pochettes puis il tâtonna la poche de sa veste, cette fois il sentit une forme singulière, il afficha dès lors un large sourire puis il parla à sa femme d'aller se vautrer dnas le lit.

-Simplement parler my dear? Je croyais que tu désirais récompenser ton mal en patience...Il faut croire que tout le monde peut se tromper...enfin De quoi veut-tu discuter Erica? De travail? Non évidamment, de Divorce? Tu connais ma réponse là dessus. D'enfants? Pas la peine d'y penser.

Le jeune homme avait remarqué que la demoiselle mettait beaucoup d'Accent sur Dylan plutôt que chéri ou bien mon amour,ce que toute femme à l'Accoutume de faire dans le plus normal des cas mais Dylan Dylan, il ne manquerait plus qu'elle l'Appelle Davis et elle aurait atteint la côte basse de son estime. Enfin, il pouvait voir dans le marron de ses yeux qu'elle était quelque peu songeuse, les sourcils froncés vers l'Avant elle avait parler d'une chose sérieuse, question de voir s'il pourra aller travailler demain, il regarda à nouveau sa montre... 4h22...Et bien il en aurait pour la nuit le pauvre.

La jeune femme en avait marre que son mari l’évite au maximum, et sa jalousie ne faisait qu’empirer son mal-être. Elle ne le faisait pas remarquer tout de même, mis à part leurs nombreuses disputes, où elle s’égosillait sans jamais réussir a avoir une seule petite réponse. Lorsqu’il restait silencieux alors qu’elle parlait. Erica ne savait même plus si elle était amoureuse. Si, bien sûr que si qu’elle l’était, sinon, elle n’aurait pas interrompu ses demandes de divorces. Et même si elle le faisait, qu’est-ce que cela lui apporterait ? Elle hésite encore a avorter, elle y pense et la seconde d’après se surprend la main sur le ventre. Son argent ? Elle s’en moque, elle arrive a vivre bien. Elle devrait déménager ? Peut importe, cela l’éloignerais de ses souvenirs. Mais elle serais toujours aussi triste. Cela ne lui apporterais rien. Elle aimerait toujours quelqu’un dont elle aura peur qu’il s’éloigne d’elle.

Il n’avait pas tourner la tête une seule seconde depuis son entrée. Erica bouillonnait. Jalouse ? Oui. Anxieuse ? Sûrement, cependant, elle ne se sentait plus de lui annoncer son malheureux événement. Elle souhaitait avorter, oui. Elle n’arrivait déjà pas a avoir une vie de couple normal, mais en aurait-elle le courage ? Elle n’osais déjà pas dire a son mari qu’elle était enceinte… Elle le regardait, calmement. Non, pas calmement. Elle ne bougeait pas certes mais elle était poussée par de multiples questions. A présent, son chéri se tenait la tête, et jetait un coup d’œil discret vers la demoiselle. Demoiselle qui se disait a nouveau que demain serait une rude journée, sans dormir grand chose, suivre en cours serait dur. Il y aurait toujours ses amies pour lui passer les notes… Elle ramait maintenant mais son avenir serait beau, elle aurait de l’argent et ferait bien vivre les enfants qu’elle aurait a ce moment là.

Mister Davis ne parlait toujours pas. Sa femme se demandait pourquoi il avait autant de retard, suppliant afin que ce ne soit pas une autre femme, elle en serait désemparée, même si elle ne laissait sa tristesse paraître seulement par son énervement… Enervement empirant en même temps que le silence s’accroissait dans la pièce. Elle ne broncha pas lorsqu’il lui sortit la tirade du : j’ai des devoirs en temps que citoyen et en tant qu’employé… Son regard s’assombrit lorsqu’il lui balança au visage que ses devoirs d’époux se voyaient dans les factures payées. Certes, il était vrai qu’il l’aidait a payer les cours mais qu’il ne se croie bon qu’a cela, recommençait à énerver la jeune femme. Non. Elle avait décider de ne pas s’en prendre à lui ce soir. Elle en était lasse. Elle le regarda préparer du café.

Elle le regarda, assise sur l’accoudoir du canapé à présent, s’énerver à rechercher quelque chose dans chacune des poches de sa mallette, de sa veste. Il sourit, il était mignon… Uhm. Enfin bref, il avait encore dû perdre quelque chose et ce sourire indiquait qu’il l’avait retrouver. Elle se dit que ça devait être les clefs de sa voiture ou quelques chose du même genre. Le genre de chose qu’on ne met jamais au même endroit et qu’on recherche ensuite durant trente ans. Elle regarda le sol, elle se sentait mal. Pas de trouver son mari mignon, heureusement, il ne manquerait plus que cela, mais d'avoir l'impression de ne rien partager avec lui. Il aurait pu lui demander de l'aider. Elle, elle aurait pu lui demander s'il avait besoin d'aider, mais rien. Ni d'un côté, ni de l'autre.

Elle se leva enfin et suivit Dylan dans la chambre, elle le regarda se vautrer dans le lit. En s’allongeant près de lui, elle sourit pour le début de sa phrase. Il disparu lorsqu’il eut finit de parler. Tout simplement lorsqu’il avait parler d’enfants. Elle espérait que ça ne se soit pas remarqué. Elle jeta un coup d’œil sur la montre de son mari, alors que celui-ci fit de même, il était : 4h22. Pfff, merci chères amies de me prêter vos cours… se dit la jeune femme avant de faire quelque chose assez inhabituelle de sa part, preuve qu’elle était très songeuse. Elle se glissa dans les bras de son chéri et dit simplement:

« Je t’aime Dylan. »

Elle se rendait compte que de l’appeler Dylan était bizarre pour une femme parlant à son mari, mais vu leurs multiples disputes, leurs prises de becs diverses, la jeune femme avait de plus en plus de mal a afficher ses sentiments envers lui avec des chéris, des mon amours, et tout ce genre d’appellations. Pourtant elle l'aimait, et elle se rendait compte qu'elle ne le montrait presque jamais.

HJ:Ahhhhhhhhh mince j avais complètement zappé désolé...
Demain j ai une journée chargée donc je vais surement te répondre mardi et tu auras ta réponse mercredi^^

Alors que le jeune Davis se jouait l'indépendant, sa délicieuse jeune femme était perplexe voir même attristée a certains moments. Son air vague, ses long cils retombant sur eux-meme a certaines periode oèu son regard mélancolique dénotait d'une certaine absurdité. Que de questionnements que pouvait contenir la tête de la demoiselle, que de tourments qu'elle pouvait avoir la pauvre malheureuse. Il fallait simplement savoir a qui elle faisait affaire. Ce Dylan, aussi simple soit-il, jamais il n'avait pensé rendre une personne malheureuse, c'était dans le moindre de ses intérêt, pas trèes sociable, pas très causant ni même timide, il est simplement inactif, rien de plus, rien de moins. Personne ne peut s'en lasser, personne ne semble non plus s'intéresser a son cas et cela le laisse tout simplement indifférent. Indifférent a un tel point qu'il ignore la réponse qu'il pourrait donner a Erica sa tendre si elle lui demanderait si il l'aimait. L'aimer? Qu'est ce que l'amour après tout? Tout ce qu'il pourrait lui dire, aussi touchant soit-il est qu'il ne peut malgrés tout se passer d'elle c'est trop pour lui. Il nécessite sa présence, il a besoin d'effleurer sa peau avec ses lèvres, de goûter a sa délicieuse bouche, de sentir dans ses cheveux blé ce parfum si doux et dans la nuit la sentir se cacher sur son torse ou il passera la main doucement sur ses épaules. Il ne peut voir son avenir sans elle et pourtant il y a des jours ou il aurait envie de l'étouffer, simplement de s'enfuir de son appartement et tout simplement la laisser la. Quel sentiment complexe qui l'habitude, il ne sait l'identifier, il voudrait tout simplement que tout s'arrête, qu'il puisse recommencer sa vie de nouveau, qu'il puisse enfin dormir sans pour autant regarder a l'extérieur par la fenêtre ni même regarder s'il y a des caméras qui le scrute dans ses moindres mouvements.

Arrivera t-il un jour a lui faire part de ses fautes, de s'ouvrir sur sa vie passée, sur son enfance et sur ses exploits? Non en fait en tant que mari et femme, tout ce qu'il peut dire c'est qu'il demeure encore un inconnu pour Erica. Elle qui croit bien le connaître, elle ignore encore tout de lui

Okay ... -____-''
Chacun son tour.... J'avais totalement zappé le fait de ne pas t'avoir répondu... J'le fais dès que je peux!!