Une journée particulièrement mal commencée (Pv:John\' Daniel

Le soleil s'était levé comme chaque matin, obligeant les pauvre humains à s'éveiller. Sur la table de nuit à côté du lit à deux place d'Alexia Siscko, le réveil se mit à sonner:
"Its time! Get Up! It's time to get up!
Pour la prmeière fois de son existance, Alex' eut envie de raccourcir la vie de l'objet en le jettant par exemple contre un mur (a).
Le réveil avait donc été brutal pour la jeune femme mais maintenant qu'elle était parfaitement éveillée la mauvaise humeur habitait son esprit et pour ne pas vider son sac sur un de ses caramardes de faculté, elle avait décidé de faire un tour pour se changer les idées. Depuis toute petit les librairies la fascinent, l'odeur du bois ancien, les rayons pleins à craquer d'ouvrage, l'odeur des livres neufs enfin bref c'était devenu pour elle une vraie passion et un jeu de chercher des livres, de bons livres mais les livres marchandisés et vendus comme de la publicité comme Da Vinci Code.
Il n'était donc pas rare de la voir apsser de nombreuses heres à consulter des ouvrages, de la voir faire rayon par rayon et surtout de la voir traîner à sa suite une pile de livres dont elle comptait bien en faire l'acquisition.
Néamoins, il faut savoir que depuis qu'elle est arrivée en Amérique, elle n'a pas pu consacrer à cette passion beaucoup de temps et elle n'avait point fourré son nez dans un livre depuis son arrivée, c'était donc dans la joie qu'elle était entrée dans la librairie, car elle savait bien l'effet que lui faisaient les livres.
Elle avait essayé déjà plusieurs livrairies, mais aucune ne lui plaisiat vraiment, tout était moderne et sentait le neuf, les vendeuses faisanet tourner les boutiques comme si c'était des usines, enfin bref c'était trop commercial pour elle. Mais quand elle poussa la porte de cette librairie qu se trouvait au coin de la 4ème Avenue, elle su que c'était là qu'elle passerait la fin de son après-midi, elle avait enfin retrouvé la sensation qu'elle ressentait quand elle entrait dans des bonnes librairies.

Parce qu’il y a aussi des jours où je ne bosse pas et je les compte sur les doigts de la main d’ailleurs. Ce n’est pas de tout repos de travailler en tant que journaliste au New York Times et c’est pour cela que ce matin j’avais décidé de m’accorder du temps pour moi-même, c’est donc avec entrain que je m’étais levé vers les environ de 9h. je saute hors de mon lit, pour commencer du bon pied je fais quelques exercices (pompes, abdos, étirements, etc…) puis après environ un quart d’heure, une fois que je suis bien en forme et que j’ai bien transpirer, je prends quelques affaires dans ma commode et je file dans la salle de bain pour me prélasser et détendre mes muscles sous le jet d’eau brûlant de la douche.
Quelques minutes plus tard, je ressors lavé, séché et habillé d’un jean style vintage tout usé bleu, taille basse m’arrivant ainsi à mi-fesse pour dévoiler mon boxer blanc, lui-même caché par un tee-shirt jaune pâle avec des écritures bleu tout aussi pâle. J’enfile des claquettes, gardant un style décontracté, je prends mes lunettes de soleil, vu le temps dehors ce ne sera pas du luxe. Je prends les clés de l’appart’, et je sors sans même dire un mot à mon frère qui comate lourdement sur le canapé du salon commun. Je prends les escaliers, un sourire radieux sur les lèvres, c’est une bonne journée qui s’annonce, c’est ainsi que je me retrouve en ville, sortant d’un Starbuck’s, un bon capuccino en main.

Je ne sais pas trop ce que je pourrais faire, je suis sortis de chez moi sans vraiment d’idée précise en tête, mais en regardant autour de moi j’aperçois une librairie un peu plus loin. Je hausse alors les épaules en me disant que ça fait bien longtemps que je n’avais pas pris le temps de lire un bon bouquin, moi qui adore lire en temps normal, je n’ai plus beaucoup de temps pour moi ces temps ci et je compte bien rattraper ça maintenant. Je traverse la rue et continu sur ma droite, arrivé devant la librairie en question, je jette un coup d’œil à l’intérieur et me décide à entrer, en disant bonjour à celui qui tient la boutique.

Alexia se retourna pour voir le nouveau venu qui s'approchait, et qui était entré dans la boutique. Attends..elle connaissait que trop bien ce visage, cependant la façon de marcher et l'expression de sa mine n'était pas semblables. Qu'elle s'en souvienne, Alexander, Alexander...cela lui disait quelque chose: mais oui il avait un jumeau! Oh mon dieu, elle avait plsu ou moins flirté avec le propriétaire de l'immeuble, elle n'arrivait pas à y croire.
Elle regarda donc le frèro, il semblait ailleurs, le style de vêtements totalement différents.Mais aussi quelque chose de plus concret,lui permettait de voir une nette différence, mais elle n'arrivait pas à mettre le doigt dessus. Que faire? Aller le saluer? Faire comme si elle ne l'avait pas vu? Pff..arrêtons ne nous prendre la tête et replongeons nous donc dans le résumé du texte que nous lisions. Alex' se replongea donc dans sa lecture sans accorder d'importance à l'autre Daniels. Cependant sa concentration n'était plus aussi forte, et elle était tentée de jeter un coup d'oeil vers Jonathan,enfin si elle se trompe pas de prénom. Elle referma l'ouvrage qui était dans ses mains et qui d'ailleurs contre toute attente de sa part, ne s'était point révélé intéressant..dommage. Elle changea carrément de rayonnage passant vers l'autre côté de l'étagère...

[Désolé mais je sais pas du tout comment d'aborder x)]

En entrant dans la librairie, après avoir dit bonjour au gérant, je relève mes lunettes que je laisse reposer sur ma tête, fourrant ma main droit dans la poche avant de mon jean. De mon autre main je tire sur mon tee-shirt pour recouvrir totalement mon boxer blanc, je regarde en même temps autour de moi les rangées de livre qui jonche les étagères, je ne sais pas par où commencer alors je fais un peu au hasard et j’entre dans la premières petite allée. Mais en déambulant j’aperçois une jeune femme qui me regarde, je fronce les sourcils, il me semble que je l’ai déjà aperçu dans l’immeuble mais je n’en mettrais pas ma main à couper ! Il faut dire que je ne suis pas souvent chez moi pour éviter les conflits et surtout parce que je bosse beaucoup, en plus de ça je ne peux pas non plus connaître tous mes locataires, vu le monde qui a dans l’immeuble je n’aurais pas finis ! Je veux bien avoir une bonne mémoire mais quand même.
Je secoue finalement la tête et arrête de la regarder, non parce qu’après elle va me prendre pour un psychopathe, c’est pas super ! Tant, ce n’est même pas moi qu’elle regardait mais la tranche d’un livre juste à côté, enfin bref. Je laisse mon regard courir sur les livres sans vraiment trouver mon bonheur, je ne cherche rien de précis donc c’est difficile de trouver quelque chose qui me convienne, je mets du temps à accrocher en plus.

Mais entre temps, un homme rentre, il a plutôt l’air agité, c’est alors qu’il sort un flingue de sa poche, menaçant le libraire avec ! Non mais…Qui de nos jours aurait l’idée de braquer une librairie ?! Faut vraiment être attardé, cependant le braqueur en question a l’air instable et d’un mouvement brusque avec son bras et sûrement pour prouver au gérant qu’il n’était pas là pour rigoler, il appuya son pied sur une étagère remplit de livre et força pour la faire basculer !
Mais derrière il y avait la jeune femme de toute à l’heure, je lâche le livre que j’avais dans mes mains et m’élance quelques mètres plus loin, me mettant entre l’étagère et la jeune fille, retenant l’étagère contre mon dos, avec l’aide de mes bras. A moitié plié en deux, je ne tiendrais pas longtemps et la jeune fille sous le choc ne bouge pas, je dis alors en soutenant encore le meuble, les livres tombant un à un :

A moins que vous vouliez qu’on ne finisse tout deux sous cette étagère en bois massif qui commence vraiment à me scier le dos, vous devriez vraiment vous enlevez de là !

L’homme au pistolet [d’argent ?  xD] ne faisait pas attention à nous puisqu’il n’avait même pas remarqué ce qu’il se passait, trop occupé à fermer la porte du magasin pour venir faire pression sur l’homme qui tenait le magasin et qui ne voulait apparemment pas céder aux exigences du braqueur !

[Ca part en nawak hein j'annonce xD]

[Oh mon die, les frères Daniels veulent ma mort c'est pas possiible x)
Je te réponds mercredi soir ou jeudi car je serais envacances d'accord?]

[On adore juste dire nawak jcrois et passer pour des héros aussi xD Pas de problème miss, de toute façon je serais peut être pas là lundi & mardi donc !]

Alexia allait attraper un nouvel ouvrage lorsque des éclats de voix lui parvinrent aux oreilles. Regardant entre deux rangés de livres, son regard aperçut une homme armée qui pointait désormais son arme sur le pauvre libraire et exigeait le contenu de sa caisse! Incroyable, braqué une librairie, rien de plus idiot car ce n'était pas ce genre de magasin qui croulait sous les dollars. Dans un excés de furie, le fou furieux donna un coup de pied sur le rayonnage derrière le quel était cachée la jeune femme. De tout sa vie, Alex' n'avait jamais été l'otage d'un braquage, ce n'était donc point étrange, qu'elle fut si stupéfaite qu'elle ne bougea pas d'un centimètre alors que la montagne de livre s'approchait dangereusement de son svelte corps.
Hasard ou bien concours de circonstances? Mais en tout cas le jumeau d'Alexander vola à son secours en s'interposant entre les livres et elles. Etait-ce le destin qui le voulait ou chaque fois que Siscko et Daniels se rencontraient fallait-il qu'un des membres des Daniels risque sa vie pour la propre vie de la jeune néo-zélandaise?
Enfin bref, trop choquée pour se tirer toute seule de là, les mots du jumeau la dégelèrent et en un bond souple, elle fut hors de danger, même si les piles de livres commençaient à leur tomber dessus. A son tour elle retînt le meuble pour qu'il puisse se tirer de là, avant qu'il ne se fasse écraser par la pile de livres qui quittaient progressivement les étalages. Le rythme cardiaque de la jeune femme était acceléré, son souffle coupé, elle avait du mal à s'en remettre, en espace de quelques jours la voilà déjà une deuxième fois sauvée. Le braqueur avait pendant ce temps là, vidé la caisse et tenait un sac pas trop rempli à la main, en un éclair, la jeune néo-zéalandaise comprit qu'il allait les vider tous les deux s'ils n'agissaient pas de suite. Traînant l'autre Daniels par la manche, elle entreprit de les caches derrière un rayonnage, et d'enlever en toute vitesse de son porte-feuille quelques billet, et cacher le reste de ses affaires de valeur. Le jumeau d'Alex' (pas confondre avec alexia hein (a) ) ne bougea pas, il était absurdi sans comprendre ce qu'elle faisait. Elle le regarda étonnée et lui répliqua vivement:

"Si tu ne veux pas que tes belles lunettes Ray-Ban s'en aillent avec ton portable et le reste de ton argent, tu ferais bien de les cacher derière ce dictionnaire."

Cela disant, il s'éxécuta, et après qu'il eût fini, elle bondit dehors pour ne pas attirer l'attention, quoique ça avait du durer quelques secondes...même pas.
Le barqueur lui demanda de vider ses poches, affichanat une tête d'innocente et de peur, alors qu'au contraire, elle se maîtrisait très bien intérieurement. S'approchant, doucement, elle commença à trembler de tous ses membres qu'elle belle comédienne elle faisait, et s'éxécuta sans un regard vers l'homme. Vidant ses poches, faisant semblant de se louper sous le coup de l'effroi, elle sortit ses quelques billets et les tendit pauvrement au braqueur, qui lui demanda de ragarder mieux, car la n'était pas fameuse.
Elle balbultilla, et répliqua qu'elle n'avait que ça sur elle, car elle venait là que pour acheter un livre...

L'homme gronda mécontent et l'evoya balader et appela Daniels pour qu'à son tour il le débarasse de quelques objets en trop x).

» Journée catastrophe! (Noah >3)